Cochon volé (Momalle)

Le 26 mars 1942, un cochon est volé dans l’étable du fermier RIGO, à Momalle.

Vol de froment (Momalle)

Le 24 janvier 1942, 4 sacs de froment sont volés dans un wagon, en gare de Momalle.

Hold-up chez Mélotte (Remicourt)

Le 19 août 1943, cinq Résistants armés du groupe « Zoro » font irruption dans l’usine « MELOTTE », à Remicourt. Ils entrent dans le bureau du chef comptable et se font remettre la paie du personnel, soit 190.000 francs. L’opération ne dure qu’une dizaine de minutes.

La Maison Communale de Momalle, cambriolée

En 1943, des Résistants s’introduisent, à la nuit tombée, dans la Maison Communale de Momalle. Ils emportent les registres d’Etat-Civil, un sceau communal et différents documents qui leur permettront de fabriquer de fausses pièces d’identité et de fausses cartes de ravitaillement pour les clandestins.

Ces Résistants sont:

  • STASSART Joseph, dit « Arsène »
  • DESIR Joseph
  • DENGIS Albert
  • BRANKART Joseph

Les gendarmes enquêtent (Waremme)

A l’été 1940, les gendarmes de Waremme enquêtent sur le vandalisme et les vols qui ont été commis dans les habitations de ceux qui ont fui la ville devant l’arrivée des Allemands, en mai 1940. Il apparaît que ceux-ci ne sont pas les seuls responsables !

La maison d’Adolphe Renwart (Waremme)

Le (?) 1940, lorsqu’il rentre dans sa maison de la rue de la Porte de Liège à Waremme, après avoir fui avec sa famille devant l’arrivée des Allemands, l’agent commercial RENWART Adolphe, constate que la porte d’entrée a été fracturée, que le linge et tous les objets de valeur ont été emportés.

La maison et la boutique de la famille Lombart (Waremme – Allemagne)

Le (?) 1940, lorsqu’ils rentrent dans leur maison de la rue Stanislas Fleussu à Waremme, après avoir fui devant l’arrivée des Allemands, les « LOMBART » constatent que leur habitation et leur boutique ont été cambriolées: sucre, café, farine, riz, sel, vêtements, chaussures, vaisselle, …,  tout a disparu.

La maison de Roland Streignaerts (Waremme – Allemagne)

Le (?) 1940, lorsqu’il rentre dans sa maison de la rue de Mouhin, à Waremme, après s’être échappé d’une colonne de prisonniers près de Saint-Trond, STREIGNAERTS Roland constate que les portes de sa maison ont été fracturées et les fenêtres brisées. Les armoires sont grandes ouvertes, les tiroirs sortis des meubles. L’argenterie, les ustensiles de ménage, le linge, les outils, le contenu de sa cave à vins, … tout a disparu. Il estime son préjudice à plus de 20.000 francs.

Un voisin lui dira que les Allemands ont passé quelques nuits dans la maison et que des réfugiés s’y sont reposés.

La maison de Gilbert Botty (Waremme – Allemagne)

Le (?), au retour de son exil en France, BOTTY Gilbert constate que sa maison a été saccagée et que des biens ont été volés, pour un montant qu’il estime à plus de 3.000 francs. Il en veut au bourgmestre, à l’administration communale de Waremme et à son délégué, le courtier en grains de l’avenue des Tilleuls (qui deviendra plus tard l’avenue Guillaume Joachim), PAQUAY Emmanuel, d’avoir introduit illicitement les Allemands dans sa demeure.

Le Groupe « Otarie » s’introduit dans la « Werbestelle » (Waremme – Allemagne)

En septembre 1943, à peine un mois après l’installation du fichier contenant les informations sur les jeunes hesbignons, destiné à les recruter pour le Service de Travail Obligatoire (STO) en Allemagne, des Résistants waremmiens du Réseau « Otarie » décident de le voler. Il est entreposé dans une pièce de l’Ecole Moyenne, à quelques mètres de la Kommandantur.

Participent, notamment à cette opération :

  • BERGER Léon,
  • NELIS Gaston, dit « Joseph »
  • BAILLY Joseph,
  • GONTHIER Emile,
  • SULS José,
  • DELVIGNE Alfred

Ils entassent les documents dans des sacs et les emmènent au nez et à la barbe des hommes de UNFRIED Paul.