En 1914, les combattants conscrits et volontaires (morts ?) de la région de Geer:
- Boëlhe: 3
- Geer: 5
- Hollogne-sur-Geer: 21
- Lens-Saint-Servais: 7
- Ligney-Darion: 16
- Omal: 10
En 1914, les combattants conscrits et volontaires (morts ?) de la région de Geer:
Le 9 novembre 1841, une goélette quitte Ostende avec les premiers colons volontaires belges, pour la baie de Santo-Tomas au Guatemala, où la Compagnie Belge de colonisation a acquis 404.671 hectares, pour une somme de 100.000 livres.
Le 18 septembre 1841, plusieurs financiers, avec l’appui du Roi LEOPOLD 1er, créent la Compagnie Belge de Colonisation.
Des agents de cette Compagnie, de véritables « rabatteurs », visitent les villages et recrutent des volontaires à l’expatriation, leur promettant une existence plus agréable que celle qu’ils peuvent espérer en Belgique, où sévit depuis des années une misère, tant morale qu’économique.
Le 29 août 1944, les jeunes volontaires de « l’Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre » (ARFEG) transportent les meubles, objets de valeur, vêtements, vaisselle, … retirés des décombres des maisons touchées par le bombardement, à l’aide de charrettes à bras, dans l’ancienne centrale électrique de la rue Sous-le-Château.
Tous ces volontaires portent un brassard d’identification.
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison voisine de l’électricien « PUTZEYS », rue Gustave Renier à Waremme, les sauveteurs libèrent le dentiste MAGNEE Fernand, FRERE Marie, MANGON Marie et un soeur Dominicaine, qui s’étaient réfugiés dans la cave de la maison de l’architecte GONTHIER. Les volontaires parviennent à les faire sortir par le soupirail de la façade. L’escalier menant à cette cave est obstrué par une tonne d’éboulis.
En juin 1940, des volontaires mettent en place, au collège Saint-Louis de Waremme, un bureau de renseignements et un centre d’accueil pour les réfugiés qui reviennent de France.
Le 16 mai 1940, l’infanterie du Fort de Boncelles s’est retirée depuis quelques jours. En l’absence de DCA, l’aviation allemande bombarde le Fort. Les trois coupoles sont mises hors d’état. On dénombre les premières victimes parmi la garnison du Fort.
Le commandant de la place rassemble ses soldats et les exhorte par ces mots: « Me rendre, jamais ! ». Il demande 25 volontaires pour poursuivre le combat. Tout le monde se propose. Il désigne les officiers et les sous-officiers, auxquels il adjoint quelques spécialistes. Il ordonne aux autres de s’échapper par la tour d’air, pour rejoindre l’armée.
Le 12 janvier 1945, une bombe volante allemande « V1 » détruit partiellement l’église de Remicourt. Le clocher, la toiture et la voûte sont fortement endommagés. Les débris s’effondrent sur le mobilier de l’édifice.
Durant plusieurs mois, le curé de la paroisse, l’abbé HAUGEN Joseph, et des volontaires fouilleront les gravats pour récupérer un maximum d’objets. Ils monteront la garde de nuit, pour éloigner les « récupérateurs ».
Les maisons voisines, la ferme LEONARD et le Cercle du village sont également touchés par l’explosion.
Le 31 juillet 1831, la Garde Civique de Longchamps, conduite par le sergent-major DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, fête le 1er anniversaire de la Révolution de Juillet et défile à Waremme.
Elle est précédée du drapeau liégeois sur lequel est écrit: « Liberté, Sécurité » d’un côté; « Longchamps 1830 » de l’autre. La pique du drapeau porte une couronne de fleurs tricolores.
La Compagnie est composée de:
( Sont absent pour cause de combats à Saint-Trond: WAUTERS Jacob et FRAIPONT Remi)
Se sont joints à la Compagnie comme volontaires:
Le 23 septembre 1830, une lutte sanglante s’engage à Bruxelles entre les troupes du Prince FREDERIC des Pays-Bas et les volontaires arrivant des quatre coins de la Belgique. Les volontaires « liégeois » sont commandés par ROGIER Charles.