La siroperie Proesman (Momalle)

En 1958, la siroperie « PROESMAN » de Momalle réceptionne (?) wagons de fournitures, pour un poids total de 68 tonnes.

La siroperie Proesman (Momalle)

En 1957, la siroperie « PROESMAN » de Momalle réceptionne 15 wagons de fournitures, pour un poids total de 161 tonnes.

La siroperie Proesman (Momalle)

En 1951, la siroperie « PROESMAN » de Momalle réceptionne 41 wagons de fournitures.

La siroperie Proesman (Momalle)

En 1950, la siroperie « PROESMAN » de Momalle réceptionne 20 wagons de fournitures.

La siroperie Proesman (Momalle)

En 1949, la siroperie « PROESMAN » de Momalle réceptionne 54 wagons de fournitures.

La siroperie Proesman (Momalle)

En 1948, la siroperie « PROESMAN » de Momalle réceptionne 48 wagons de fournitures.

La siroperie Proesman (Momalle)

En 1947, la siroperie « PROESMAN » de Momalle réceptionne 124 wagons de fournitures.

Installations « marchandises » à la gare de Waremme

Dans les années 70 (1970), il y a toujours des installations ferroviaires destinées aux marchandises à la gare de Waremme. On y compte plusieurs raccordement toujours en service, notamment:

  • celui de Monsieur BEAUDUIN
  • celui de la Sucrerie

Des wagons-trémies de charbon fournissent également, régulièrement, le détaillant WERICHET.

Le Chemin de Fer et le Vicinal (Waremme)

En juin 1944, les voies de Chemin de Fer et du Vicinal s’imbriquent à la gare de Waremme, pour former une véritable toile d’araignée. L’écartement des rails étant différent, il est fréquent que des wagons d’une des sociétés soient chargés sur ceux de l’autre, pour éviter des transbordements inutiles de marchandises.

Inauguration du premier tronçon de Chemin de Fer en Belgique

Le 5 mai 1835, le Roi LEOPOLD 1er inaugure le tronçon de Chemin de Fer Bruxelles – Malines. C’est la première ligne de Chemin de Fer de l’Europe Continentale.

Les locomotives des convois du jour sont fournies par STEPHENSON et COCKERILL. Trois convois sont constitués. Le premier, constitué de sept voitures « char à bancs », est réservé aux « Corps Constitués ». Il est tracté par la locomotive baptisée « La Flèche ». Elle est conduite par DE RIDDER. Le deuxième, composé de trois wagons « char à bancs » et quatre diligences, est réservé aux ministres, diplomates, sénateurs et députés. Il est tracté par la locomotive baptisée « Le Stephenson ». Le troisième, composé de seize wagon « char à bancs » est réservé aux invités sans fonction officielle, dont STEPHENSON. Il est tiré par la locomotive « L’Eléphant ». Elle est conduite par SIMONS.

La cérémonie se déroule dans une ambiance de fête foraine : tribunes colorées, drapeaux flottant au vent, messieurs en gibus et redingote, dames en grande tenue et chapeau.

La vitesse moyenne des convois est de 32 à 40 km/h.

La liesse générale retombe quelque peu lorsque le convoi royal tombe en panne, par manque d’eau, sur le trajet de retour Malines-Bruxelles.