En 1718, l’abbesse DE WARNANT Isabelle restaure la grange du manoir construit par la famille DE HEMRICOURT, à « La Remikette » à Waleffe-le-Château. C’est dans cette grange que sont entreposées les dîmes perçues à Waleffe et à Omal.
En 1679, un manoir est construit par la famille DE HEMRICOURT, à la Remikette, à Waleffe.
En 1853, le Baron DE POTESTA Louis-M.-E. et son épouse DE BEX Sophie-M.-L. offrent une cloche, dédiée à la Vierge et à Saint-Georges, à l’église de Waleffe.
La cloche a été réalisée par VAN AERSCHODT A.-L.-J. de Louvain.
En 1663, l’abbesse du Val-Notre-Dame, DE CHEVALIER Marie, offre une cloche, dédiée à la Vierge, à l’église de Waleffe.
La cloche a été réalisée par PLUMERE Claude et son fils PLUMERE Jean.
En 1136, Waleffe-Saint-Pierre (Walafia) fait partie des possessions du Monastère de Stavelot, dont l’abbé est WIBALD.
En 1733, DE CORTE Henri est Baron de Waleffe et de Borlez.
En 1339, il y a un moulin à pastel à Waleffe.
En 1745, DE LA RAUDIERE Henri-Joseph est Baron de Waleffe et de Borlez.
En 1901, la S.A. « Sucrerie d’Oreye » est mise en liquidation. Elle avait été fondée par les frères CARTUYVELS de Waleffe. Son activité sera reprise par la Sucrerie Notre-Dame, dirigée par ROBERTI Auguste. Il a été directeur de la Sucrerie de Remicourt. Il restera administrateur-délégué jusqu’en 1936 (?).
Les administrateurs de la nouvelle société sont:
Durant cette année, la raffinerie va produire 3.300 tonnes de sucre.
Le nom de « Sucrerie Notre-Dame » est donné en souvenir reconnaissant de la guérison « miraculeuse » à Lourdes, en 1898, de son directeur ROBERTI Auguste.
En 1901, la Sucrerie d’Oreye est dissoute. Elle avait été fondée par les quatre frères CARTUYVELS, de Waleffe.
Les activités de la sucrerie sont reprises par six investisseurs :
Le groupe rebaptise la société « Sucrerie Notre-Dame », en souvenir de la guérison miraculeuse à Lourdes, en 1898, du directeur, ROBERTI Auguste.