Le 23 octobre 1914, le soldat HAPPART Paul, d’Otrange, est blessé à la main par un éclat d’obus, dans les tranchées de l’Yser.
Paul Happart, blessé (Yser – Otrange)
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Paul Happart, à nouveau blessé (Yser – Otrange – Calais)
Le 17 novembre 1914, le soldat HAPPART Paul, d’Otrange, est blessé au bras dans les tranchées de l’Yser. Il sera évacué vers l’hôpital de Calais, en France.
Joseph Piercot, soldat (Oreye)
Début 1915, le soldat (?) PIERCOT Joseph, d’Oreye, combat dans la région de l’Yser.
Jean Leunus, blessé (Yser – Oreye)
Le (?), durant la Première Guerre Mondiale, le lancier LEUNUS Jean, natif d’Oreye, est blessé lors des combats sur l’Yser. Il est emmené à l’hôpital militaire de La Panne, où il sera soigné par la Reine ELISABETH de Belgique, qui y sert comme infirmière.
Henri Louwette, blessé (Oreye)
Le (?) (1914 ?), le soldat LOUWETTE Henri, d’Oreye, est gravement blessé à la jambe gauche, dans les tranchées de l’Yser. Atteint de la gangrène, il devra être amputé.
Mort de Paul Happart (Otrange – Beveren)
Le 5 décembre 1917, HAPPART Paul-Gérard-Hubert, d’Otrange, sergent au 14ème de Ligne, est tué au combat à Beveren, sur l’Yser, lors de la Bataille de la Lys. Il sera inhumé au cimetière d’Adinkerke, près de La Panne. Il sera fait Chevalier de l’Ordre de Léopold et décoré de la Croix de Guerre, à titre posthume.
Joseph Jeanfils, coureur cycliste (Remicourt)
En 1920, JEANFILS Joseph, de Remicourt, est coureur cycliste indépendant. Il est âgé de 27 ans.
Il participera à la course Liège – Bastogne – Liège. Il créera le vélodrome de Remicourt. Il a combattu sur le front de l’Yser durant la Première Guerre Mondiale.
Edmond Milis, handicapé (Remicourt – Yser)
Après la Première Guerre Mondiale, MILIS Edmond, de Remicourt, doit supporter les conséquences de son long séjour dans les tranchées de l’Yser.
Joseph Jeanfils, gazé (Remicourt – Yser)
En (?), durant la Première Guerre Mondiale, JEANFILS Joseph, de Remicourt, est gazé sur le front de l’Yser. Il achèvera sa vie, handicapé par des poumons abimés.
François Gilon ramené au village (Crisnée)
En 1918, une équipe de Crisnéens, parmi lesquels DENOMERENGE Emile, futur bourgmestre, et LAHAYE Joseph, dit « Djôzef da Nanèsse », exhument clandestinement la dépouille mortelle de GILON François, tué dans la région de l’Yser, et la ramène à Crisnée. Il sera inhumé dans une tombe creusée dans le parvis de l’église du village.