Vers 1910, des enfants de 12 à 14 ans prennent le train quotidiennement entre Waremme et Liège pour aller travailler comme aides-maçons. Ils s’affalent sur les bancs et s’endorment à peine assis. Leur organisme en pleine croissance est à bout de ressources, au milieu des fatigues de l’activité professionnelle.